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État de publication: publié
Nom de la revue: La Nouvelle Revue - Éducation et société inclusives
Volume: 2018/3-4
Numéro: 83-84
Intervalle de pages: 99-111
URL: https://constellation.uqac.ca/id/eprint/5719/1/NRESI_083_0099.pdf
Résumé: Peu d’études se sont intéressées au diagnostic de Trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) en tant qu’inégalité pouvant être créée par l’école. Pourtant, l’importance du milieu scolaire et des enseignants dans l’identification et l’étiquetage des élèves sous la catégorie TDAH est certaine (Brancaccio, 2000 ; Hinshaw et Scheffler, 2014), bien que peu étudiée (Conrad et Singh, 2018). Une manière de comprendre et d’éventuellement réduire les faux-diagnostics de TDAH est d’étudier le contexte scolaire, d’où semblent émerger des variations de catégorisation entre les établissements et les enseignants (Fabiano et al., 2013). À partir d’une perspective sociologique, combinée au courant de recherche sur l’effet-établissement, l’objectif du présent article est de proposer des pistes de réflexion concernant la distribution inégale du TDAH et de sa médication entre établissements scolaires.
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