Le sentiment de pouvoir agir de jeunes Québécois face aux changements climatiques


Communication

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État de publication: Publiée (2019 ,27 Mai )

Type de présentation: Colloque 506 : « Éducation à l’environnement et au développement durable : place et rôle des savoirs et du territoire dans les dynamiques d’engagement des acteurs »

Nom de la rencontre: 87e Congrès de l'ACFAS

Lieu: Gatineau, Canada

Résumé: Pour faire face à la problématique sociale et environnementale des changements climatiques, l’éducation pour le développement du pouvoir agir semble constituer une avenue incontournable (Schreiner et al., 2005). De plus, il apparaît pertinent, pour soutenir le développement de ce pouvoir agir, de s’attarder à ses dimensions affectives (Zeyer et Kelsey, 2013) et, plus particulièrement, à ce que nous nommons, dans le cadre de notre recherche doctorale, le sentiment de pouvoir agir des jeunes de la fin du secondaire. Ce concept nous permet entre autres de prendre en considération la liberté qu’ont les jeunes d’agir, ou non, face aux changements climatiques en fonction de leurs diverses capabilités (Sen, 2010). En ce sens, le sentiment de pouvoir agir, comme concept en émergence, nous permet de considérer à la fois les libertés d’agentivité (ou de processus) et les libertés d’opportunité (et de bien-être) des jeunes face à cette problématique sociale et environnementale, et ainsi de s’inscrire dans un modèle pédagogique et social à visée transformatrice et critique (Jickling et Wals, 2018). Dans le cadre de cette communication, nous présentons une illustration, à l’aide d’extraits choisis (récoltés lors d’entretiens de groupe), de ce sentiment de pouvoir agir des jeunes Québécois de la fin du secondaire face aux changements climatiques.

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