L'école en réseau, une idée qui fait son chemin dans le monde francophone


[[{"fid":"1138","view_mode":"vignette_gauche","fields":{"format":"vignette_gauche","field_file_image_alt_text[und][0][value]":"","field_file_image_title_text[und][0][value]":""},"type":"media","attributes":{"height":170,"width":220,"class":"media-element file-vignette-gauche"},"link_text":null}]]Jean-Louis Roy, grand défenseur de la cause francophone, était le conférencier principal invité lors de la dernière séance du Forum et Thérèse Laferrière est intervenue en tant que panelliste pour y parler brièvement de l'école en réseau en tant qu'exemple 1) d'un effort collectif "top-down et bottom-up" qui a impliqué, depuis 2002, différents ministères dont le plus proche (Éducation) et des commissions scolaires tout comme plusieurs centaines d'enseignantEs et des directions d'établissement et de tiers agents comme le CEFRIO, des professionnelLEs, cinq chercheurEs du CRIRES et quelques dizaines d'étudiantEs des trois cycles universitaires; 2) d'une méthodologie de recherche qui, en produisant des données régulièrement pour éclairer la prise de décision des acteurs, a permis un renforcement de capacité en matière d'innovation; d'une "pédagogie nouvelle" axée sur la compréhension et la résolution de problèmes, soit la coélaboration de connaissances entre les élèves d'une même classe avec l'appui de technologies numériques appropriées, entre élèves de classes différentes en provenance d'une même commission scolaire, de régions différentes, de pays différents. Ces thèmes avaient été abordés la veille avec des conférenciers comme Michael Fullan qui insistait sur le renforcement de capacité en matière d'innovation ainsi que par Jean-Michel Blanquer de Paris qui, s'appuyant sur le récent rapport de l'OCDE en lien avec l'usage du numérique, insistait sur la nécessité de développer des pédagogies nouvelles qui savent tirer profit des possibilités des ordinateurs tout en préparant les jeunes à tirer leur épingle du jeu dans un monde où le numérique transforme les pratiques de travail et de participation citoyenne.