Congrès mondial sur la résilience (22-24 aout 2016): le pari réussi d'une membre du CRIRES


[[{"fid":"1369","view_mode":"vignette_gauche","fields":{"format":"vignette_gauche","field_file_image_alt_text[und][0][value]":"","field_file_image_title_text[und][0][value]":""},"type":"media","attributes":{"height":"70","width":"220","class":"media-element file-vignette-gauche"}}]]Colette Jourdan-Ionescu avait obtenu une subvention du programme Connexion du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH) d’une valeur de 21 000$ pour organiser ce congrès. En voici la programmation dans son entier. Le titre d'un article paru dans Le Nouvelliste, soit la Presse de Trois Rivières, met bien l'accent sur ce qui distingue la résilience, soit cette capacité de rebondir après l'épreuve. Tel qu'attendu, plus de 500 personnes y ont participé. Le CRIRES était l'un des partenaires de cette activité qui a attiré des gens de plusieurs pays tout comme des Québécois-e-s. Des chercheur-e-s du CRIRES y ont fait des communications, entre autres, un symposium, sous la coordination de Rollande Deslandes, qui a duré tout l'après-midi du 23 aout et au cours duquel l'échange fut soutenu avec et entre la cinquantaine de participant-e-s pour y discuter du thème La résilience des jeunes vue sous l’angle du résultat de relations collaboratrices entre l’école, les familles et la communauté. À l'initiative notamment de Francine Julien-Gauthier, les actes paraitront sous LEL du CRIRES.